Trois nouveaux bâtiments pour handicapés construits sur la Côte vaudoise
Confrontée au vieillissement et à l’intégration des personnes en situation de handicap, la Fondation Perceval a construit trois nouveaux bâtiments à Saint-Prex et à Aubonne (VD). De nouveaux logements adaptés à la mobilité réduite et à l’apprentissage de l’autonomie procurent à leurs résidents plus de confort et d’autonomie.
Crédit image: Fondation Perceval
La Maison du Jardin abrite à Saint-Prex 22 logements protégés, une salle polyvalente, une cuisine centralisée et deux ateliers.
Soucieuse d’apporter le confort nécessaire à ses résidents, la Fondation Perceval de Saint-Prex (VD) peut désormais compter sur trois nouveaux bâtiments. Les travaux se sont déroulés sur fond de pandémie, mais, finalement, les trois nouveaux foyers construits pour 22 personnes en situation de handicap sont désormais opérationnels.
Il s’agissait surtout d’améliorer les conditions de vie des résidents. Les anciens bâtiments de la Fondation n’étaient en effet pas adaptés à des personnes souffrant de problèmes de mobilité. Pour un montant de 20 millions de francs, le projet a donc construit trois nouvelles structures, à Saint-Prex et à Aubonne.
Maisons pour l’autonomie
et le confort
La Maison du Jardin, à Saint-Prex, est le bâtiment phare de ce projet. Outre
des logements pour 22 personnes, elle abrite sur une surface au sol de 1500 m², deux
ateliers, un centre de développement personnel, des espaces communs, une
cuisine centrale et une salle polyvalente. Les personnes qui y résident ont pu
donner leur avis sur le projet dans le cadre d’un groupe de travail
participatif. Les personnes en situation de handicap vivant de plus ne plus
longtemps, la Maison du Jardin offre ainsi un cadre plus adapté, notamment avec
des ascenseurs et des sanitaires adéquats aux problèmes de mobilité des
personnes âgées.
La Fondation Perceval a également construit deux autres structures à Aubonne. Ces deux bâtiments accueillent respectivement six et neuf jeunes adultes dans un foyer et des studios. Avec pour but de les faire partir de l’institution à terme, une fois leur autonomie gagnée. Le projet a reçu un large soutien financier, dont celui de l’Etat de Vaud.