5000 personnes aux journées portes ouvertes Orllati
Plus de cinq mille personnes se sont déplacées samedi à Bioley-Orjulaz, dans la région du Gros-de-Vaud pour venir découvrir les installations du Groupe Orllati.
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Après des années de discrétion absolue, le Groupe Orllati, récemment cible d’accusations diffamatoires a décidé de se faire connaitre du grand public en organisant, dans le cadre de la journée de l’Union des communes vaudoises, des journées Portes Ouvertes. Des food-trucks, jeux, animations et châteaux gonflables étaient installés pour les enfants et, pour les parents, il était permis de monter sur de gigantesques machines de chantiers de couleur turquoise, la carte d’identité de l’entreprise. Le groupe a également inauguré sa nouvelle gravière du Mont-de-Melley sur la commune de Bettens (VD), et a fait visité les deux sites à bord d’un petit train touristique. L’événement a attiré, samedi, plus du double de visiteurs que ce qu’attendaient les organisateurs.
«Ils bossent dur»
Qu’il s’agisse de personnes en lien avec les activités de l’entreprise, de simples curieux, ou de compatriotes albanais fiers du succès des quatre frères, tous s’accordent à dire que malgré les jalousies et les derniers scandales diffamatoires, la réussite du Groupe Orllati est avant tout le résultat d’un travail acharné. Un visiteur architecte, trouve le concept de ces portes ouvertes très positif: «C’est normal que leur succès crée des jalousies, mais il ne faut pas laisser raconter n’importe quoi. Il faut voir comment ils bossent les quatre frères: quand on vient à un rendez-vous à 6 h 30 du matin, eux sont déjà au bureau depuis deux heures.»
800 collaborateurs et des valeurs
Pour Véronique Chaignat, la nouvelle directrice de la communication, ce type d’événement permet de faire découvrir les activités du groupe. «Tout le monde connaît Orllati pour ses activités, mais peu de personnes connaissent son histoire et ses valeurs. Nous employons actuellement 800 collaborateurs. L’entreprise a grandi de manière exponentielle et la direction a pris conscience qu’il devenait nécessaire d’avoir une vraie cellule de communication au sein de l’entreprise. C’est aussi une manière de prouver que nous n’avons rien à cacher.»